La destruction de la couche d'ozone et ses implications en Région wallonne

Stratospheric ozone is an important constituent of the Earth's atmosphere since it protects the biosphere from the most harmful ultraviolet radiations emitted by the sun. Some human activiites such as the use of man-mande chlorofluorocarbons have resulted in major destruction of ozone, in particular in the polar regions of the stratosphere. The Montreal Protocol has been successful in limiting the emissions of ozone depleting substances such as the complete ozone recovery is expected to take place in 2050 over northern mid-latitudes. ; L’ozone (O3) est présent dans l’atmosphère terrestre en qu... Mehr ...

Verfasser: Mahieu, Emmanuel
Dokumenttyp: report
Erscheinungsdatum: 2007
Verlag/Hrsg.: Ministère de la Région Wallonne - DGRNE
Schlagwörter: ozone / composition atmosphérique / changement atmosphérique / Physical / chemical / mathematical & earth Sciences / Earth sciences & physical geography / Physique / chimie / mathématiques & sciences de la terre / Sciences de la terre & géographie physique
Sprache: Französisch
Permalink: https://search.fid-benelux.de/Record/base-29277616
Datenquelle: BASE; Originalkatalog
Powered By: BASE
Link(s) : https://orbi.uliege.be/handle/2268/2423

Stratospheric ozone is an important constituent of the Earth's atmosphere since it protects the biosphere from the most harmful ultraviolet radiations emitted by the sun. Some human activiites such as the use of man-mande chlorofluorocarbons have resulted in major destruction of ozone, in particular in the polar regions of the stratosphere. The Montreal Protocol has been successful in limiting the emissions of ozone depleting substances such as the complete ozone recovery is expected to take place in 2050 over northern mid-latitudes. ; L’ozone (O3) est présent dans l’atmosphère terrestre en quantité limitée, avec un maximum de concentration entre 15 et 50 km d’altitude. Cette molécule y joue un rôle essentiel en fltrant les rayons solaires ultraviolets dont les effets sur les êtres vivants peuvent être nocifs. L’infuence des activités humaines sur la couche d’ozone stratosphérique s’est manifestée dès le début des années 1980, principalement au dessus de l’Antarctique, où une baisse signifcative de la quantité totale d’ozone a été observée chaque printemps (ce que l’on nomme communément le «trou dans la couche d’ozone»). Depuis la mise en oeuvre du Protocole de Montréal en 1987, les émissions mondiales de substances halogénées à l’origine de cette destruction ont fortement diminué, laissant présager, sous nos latitudes, un retour à la normale de l’épaisseur de la couche d’ozone vers 2050.