Qualité du lait: la Wallonie à la pointe grâce à l’utilisation de la spectrométrie infrarouge

peer reviewed ; La spectrométrie infrarouge est utilisée depuis de nombreuses années en Belgique. Les premiers spectromètres utilisés étaient des appareils à filtres, n’utilisant que quelques zones de la plage spectrale du moyen infrarouge (MIR). La généralisation de ces appareils dans les laboratoires d’analyses laitières a été possible grâce aux nombreux avantages liés à cette technique d’analyse. Ces appareils sont très rapides : ils permettent de mesurer entre 400 et 600 échantillons par heure. Une seule mesure spectrale permet d’estimer simultanément une multitude de paramètres. Cette tec... Mehr ...

Verfasser: Dehareng, Frédéric
Soyeurt, Hélène
Gengler, Nicolas
Bastin, Catherine
Veselko, Didier
Bertozzi, Carlo
Baeten, Vincent
Sinnaeve, Georges
Dardenne, Pierre
Dokumenttyp: conference paper
Erscheinungsdatum: 2013
Schlagwörter: spectrométrie infrarouge / Qualité du lait / Life sciences / Animal production & animal husbandry / Sciences du vivant / Productions animales & zootechnie
Sprache: Französisch
Permalink: https://search.fid-benelux.de/Record/base-29277416
Datenquelle: BASE; Originalkatalog
Powered By: BASE
Link(s) : https://orbi.uliege.be/handle/2268/217002

peer reviewed ; La spectrométrie infrarouge est utilisée depuis de nombreuses années en Belgique. Les premiers spectromètres utilisés étaient des appareils à filtres, n’utilisant que quelques zones de la plage spectrale du moyen infrarouge (MIR). La généralisation de ces appareils dans les laboratoires d’analyses laitières a été possible grâce aux nombreux avantages liés à cette technique d’analyse. Ces appareils sont très rapides : ils permettent de mesurer entre 400 et 600 échantillons par heure. Une seule mesure spectrale permet d’estimer simultanément une multitude de paramètres. Cette technique est également précise et robuste, permettant ainsi d’obtenir un niveau de précision équivalent aux méthodes de référence classiques. Enfin, les coûts d’analyse par échantillon restent relativement faibles. Ceci a donc permis d’une part le développement du système de payement du lait actuel qui repose sur un échantillonnage et une mesure systématique de la composition du lait lors de chaque ramassage en ferme et, d’autre part, le développement du contrôle laitier mensuel