Contexte social des enfants et adolescents en âge scolaire au Luxembourg
Ce rapport fournit des informations sur le contexte social des adolescents âgés de 11 à 18 ans scolarisés dans les écoles publiques et privées du Luxembourg dont l’enseignement s’appuie sur le programme national en 2022. D'une manière générale, l'âge, le genre, l'aisance familiale, le profil migratoire et l'ordre d’enseignement sont liés aux indicateurs de contexte social dans l'étude HBSC Luxembourg de 2022. Les garçons, les adolescents plus jeunes, les adolescents issus de familles au niveau d'aisance faible, les adolescents immigrés de première génération et les élèves scolarisés dans l'ens... Mehr ...
Verfasser: | |
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Dokumenttyp: | report |
Erscheinungsdatum: | 2024 |
Schlagwörter: | Social & behavioral sciences / psychology / Sociology & social sciences / Sciences sociales & comportementales / psychologie / Sociologie & sciences sociales |
Sprache: | Französisch |
Permalink: | https://search.fid-benelux.de/Record/base-29109457 |
Datenquelle: | BASE; Originalkatalog |
Powered By: | BASE |
Link(s) : | https://orbilu.uni.lu/handle/10993/61625 |
Ce rapport fournit des informations sur le contexte social des adolescents âgés de 11 à 18 ans scolarisés dans les écoles publiques et privées du Luxembourg dont l’enseignement s’appuie sur le programme national en 2022. D'une manière générale, l'âge, le genre, l'aisance familiale, le profil migratoire et l'ordre d’enseignement sont liés aux indicateurs de contexte social dans l'étude HBSC Luxembourg de 2022. Les garçons, les adolescents plus jeunes, les adolescents issus de familles au niveau d'aisance faible, les adolescents immigrés de première génération et les élèves scolarisés dans l'enseignement fondamental sont plus susceptibles d'aimer beaucoup l'école et de ne ressentir que peu de pression, voire aucune. Les élèves qui pensent que leurs professeurs considèrent que leurs résultats scolaires sont inférieurs à la moyenne sont plus susceptibles de ne pas aimer l'école et de ressentir une pression du travail à l'école. Concernant la famille et les amis, les garçons indiquent plus fréquemment avoir une communication (très) facile avec leur père et leur mère et un niveau élevé de soutien familial, tandis que les filles estiment recevoir un soutien plus élevé de leurs ami(e)s. En outre, les adolescents issus de familles au niveau d'aisance élevé, vivant avec leurs deux parents et sans profil migratoire estiment bénéficier d'un niveau élevé de soutien de la famille et des ami(e)s. Par ailleurs, ce rapport examine les identités de genre non binaires et compare le soutien social perçu et la santé mentale des garçons cisgenres, des filles cisgenres et des adolescents non cisgenres dans les écoles secondaires. En résumé, les adolescents non cisgenres font part de niveaux de soutien moins bons de leur famille, de leurs amis, de leurs professeurs et de leurs camarades de classe et de niveaux plus faibles de satisfaction de vie et de bien-être que leurs pairs cisgenres.