Aux origines de l’espace européen sans frontières
Prévues par le traité de Rome (1957) dans le cadre du marché intérieur, les quatre libertés de circulation (des personnes, des marchandises, des capitaux et paiements, ainsi que des services) sont au coeur du projet européen. Le principe de la libre circulation des personnes, qui compte parmi les droits de l’homme, prend une autre dimension lorsque cinq États membres de la Communauté européenne – le Luxembourg, la Belgique, les Pays-Bas, la France et l’Allemagne – concluent, le 14 juin 1985, l’Accord de Schengen, qui allait préfigurer la citoyenneté européenne et mener vers un espace unique de... Mehr ...
Verfasser: | |
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Dokumenttyp: | newspaper article |
Erscheinungsdatum: | 2020 |
Verlag/Hrsg.: |
Imprimerie Saint-Paul
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Schlagwörter: | Libre circulation des personnes / Les quatre libertés fondamentales / Schengen / Luxembourg / Benelux / Sommet de Fontainebleau / Accord de Saarbrücken / Accords de Schengen / Traité d'Amsterdam / Système d’information Schengen (SIS) / Robert Goebbels / Arts & humanities / History / Law / criminology & political science / Political science / public administration & international relations / Arts & sciences humaines / Histoire / Droit / criminologie & sciences politiques / Sciences politiques / administration publique & relations internationales |
Sprache: | Englisch |
Permalink: | https://search.fid-benelux.de/Record/base-29108721 |
Datenquelle: | BASE; Originalkatalog |
Powered By: | BASE |
Link(s) : | https://orbilu.uni.lu/handle/10993/43521 |
Prévues par le traité de Rome (1957) dans le cadre du marché intérieur, les quatre libertés de circulation (des personnes, des marchandises, des capitaux et paiements, ainsi que des services) sont au coeur du projet européen. Le principe de la libre circulation des personnes, qui compte parmi les droits de l’homme, prend une autre dimension lorsque cinq États membres de la Communauté européenne – le Luxembourg, la Belgique, les Pays-Bas, la France et l’Allemagne – concluent, le 14 juin 1985, l’Accord de Schengen, qui allait préfigurer la citoyenneté européenne et mener vers un espace unique de sécurité et de justice. Trente-cinq ans après, un rappel historique s’impose.