Les papiers oubliés de la Fabrique impériale et royale d'Andenne (Belgique)
International audience ; 1783 - 1794 – Fabrique impériale et royale de faïence à Andenne (Pays-Bas méridionaux).La fabrique, qui commence sa production en 1783, reçoit de l’Empereur Joseph II le titre de « Fabrique impériale et royale » en 1785 et arrête son fonctionnement en cette qualité durant l’été 1794. Le rattachement du territoire « belge » à la République française en 1795, marque le début d’une nouvelle période dans la production faïencière à Andenne.L’article présente la découverte et, succinctement, le contenu d’archives concernant la première grande manufacture de faïence d’Andenne... Mehr ...
Verfasser: | |
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Dokumenttyp: | Artikel |
Erscheinungsdatum: | 2010 |
Verlag/Hrsg.: |
HAL CCSD
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Schlagwörter: | [SHS.ART]Humanities and Social Sciences/Art and art history / [SHS.HIST]Humanities and Social Sciences/History / [SHS.MUSEO]Humanities and Social Sciences/Cultural heritage and museology |
Sprache: | Französisch |
Permalink: | https://search.fid-benelux.de/Record/base-28898787 |
Datenquelle: | BASE; Originalkatalog |
Powered By: | BASE |
Link(s) : | https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02142591 |
International audience ; 1783 - 1794 – Fabrique impériale et royale de faïence à Andenne (Pays-Bas méridionaux).La fabrique, qui commence sa production en 1783, reçoit de l’Empereur Joseph II le titre de « Fabrique impériale et royale » en 1785 et arrête son fonctionnement en cette qualité durant l’été 1794. Le rattachement du territoire « belge » à la République française en 1795, marque le début d’une nouvelle période dans la production faïencière à Andenne.L’article présente la découverte et, succinctement, le contenu d’archives concernant la première grande manufacture de faïence d’Andenne, plus particulièrement celles de sa première période. Ces archives couvrent, en fait, l’époque plus large (1786-1810) pendant laquelle Jean-Baptiste Boucquéau et son épouse Félicité, dite Félix, Bosquet ont détenu une part dans la propriété de la manufacture. Elles étaient totalement ignorées des historiens de la faïence andennaise. C’est ce qui explique l’expression « papiers oubliés » utilisée dans le titre de l’article.Cet article reprend le texte de la communication présentée par l’auteur au cours de la journée d’étude « Rencontres autour de la faïence fine », organisée par le Musée de la Faïence de Sarreguemines au Casino des Faïenceries le 27 mai 2007.L’article est mis en ligne avec l’aimable autorisation de M. Jacques Bontillot, directeur de la publication « Passion faïence » éditée par l’association « Les Amis de la faïence fine ».