C'est toujours la faute de l'autre en Belgique ; In Belgien ist es immer die Schuld des Anderen

This article aims to analyse quickly the conflict between the two big communities in Belgium. This State has been confronted to several crises. Each community considers that this is the responsability of the other. The language has an important role to play in this situation. ; Depuis 1830, la devise belge est et demeure « l’Union fait la force » et depuis la réforme constitutionnelle du 5 mai 1993, l’État belge est fédéral. La Belgique du XXe siècle est l’histoire d’une répétition de crises entre ce qu’il est désormais convenu d’appeler deux « communautés » (flamande et francophone) qui n’en... Mehr ...

Verfasser: Grandjean, Geoffrey
Dokumenttyp: newspaper article
Erscheinungsdatum: 2008
Verlag/Hrsg.: ARTE
Schlagwörter: Belgium / Reconciliation / Crisis / Belgique / Réconciliation / Crise / Belgien / Vergangenheit / Krise / Law / criminology & political science / Political science / public administration & international relations / Droit / criminologie & sciences politiques / Sciences politiques / administration publique & relations internationales
Sprache: Französisch
Permalink: https://search.fid-benelux.de/Record/base-27329138
Datenquelle: BASE; Originalkatalog
Powered By: BASE
Link(s) : https://orbi.uliege.be/handle/2268/12138

This article aims to analyse quickly the conflict between the two big communities in Belgium. This State has been confronted to several crises. Each community considers that this is the responsability of the other. The language has an important role to play in this situation. ; Depuis 1830, la devise belge est et demeure « l’Union fait la force » et depuis la réforme constitutionnelle du 5 mai 1993, l’État belge est fédéral. La Belgique du XXe siècle est l’histoire d’une répétition de crises entre ce qu’il est désormais convenu d’appeler deux « communautés » (flamande et francophone) qui n’en finissent pas de se déchirer et de s’éloigner l’une de l’autre. Ce faisant, chacune projette sur l’autre la responsabilité de cette division. Au cœur de ce malentendu, la question de la langue.