Le bain généreux de l’Écomusée du fier monde

On classe également le bain Généreux dans la catégorie des objets phares identitaires puisqu’il réfère à une époque mais aussi à un quartier. En effet, ce bain public, un des premiers à être gratuit, commandité par la ville et caractéristique du mouvement Art déco, est empreint de l’époque des années 1900, période d’industrialisation. Le lieu se fait ainsi le témoin des conditions de vie et d’hygiène, particulièrement précaires, de toute une population ouvrière qui ne possédait pas l’eau courante. L’auteure décrit alors la façon dont le statut de l’édifice a évolué tout au long du XXème siècle... Mehr ...

Verfasser: Roquefeuille, Margot de
Dokumenttyp: Artikel
Erscheinungsdatum: 2016
Verlag/Hrsg.: IHTP - Institut d'Histoire du Temps Présent
Schlagwörter: patrimoine / musée / musée Redpath / Université du Québec à Montréal / Loup-garou 1 / Momie de Thèbes / musée du Parc de Miguasha / Musée McCord / archives photographiques / Marius Dufresne / Alfred Laliberté / Frère Marie-Victorin / ex-voto / Centre canadien d'architecture de Montréal / Musée d’art contemporain de Montréal / James Tissot / Musée canadien des civilisations / Étoile du matin / Musée des beaux-arts de Montréal / Toi Moko / Insectarium / monarque / Centre des Sciences de Montréal / Musée du Château Dufresne / Rosa Luxemburg / Musée National des Beaux-Arts de Québec / Biodôme / Maurice Richard / Hockey / Serge Lemoyne / frère André / patrimoine religieux / Maison Cartier / Écomusée du fier monde / drapeau acadien
Sprache: unknown
Permalink: https://search.fid-benelux.de/Record/base-27136578
Datenquelle: BASE; Originalkatalog
Powered By: BASE
Link(s) : http://cm.revues.org/2361

On classe également le bain Généreux dans la catégorie des objets phares identitaires puisqu’il réfère à une époque mais aussi à un quartier. En effet, ce bain public, un des premiers à être gratuit, commandité par la ville et caractéristique du mouvement Art déco, est empreint de l’époque des années 1900, période d’industrialisation. Le lieu se fait ainsi le témoin des conditions de vie et d’hygiène, particulièrement précaires, de toute une population ouvrière qui ne possédait pas l’eau courante. L’auteure décrit alors la façon dont le statut de l’édifice a évolué tout au long du XXème siècle, d’utilité à désuétude et d’oubli à redécouverte, pour aujourd’hui abriter l’écomusée du fier monde qui, par sa mission, renforce la mémoire que renferme le bâtiment tandis que le bâtiment se fait l’écho du discours du musée.