Poème sur le siège de Metz en 1324, par Jean de Luxembourg, roi de Bohême ; Edouard, marquis du Pont et comte de Bar ; Ferry, duc de Lorraine, et Baudouin, archevêque de Trèves.

Numérisation effectuée à partir d'un document de substitution. ; Premiers vers : « Pour eschevir mirancolie, Qui m'ait estés souvent contraire, Une matière ai entaillie Dont je volra plusseurs vers faire. » Derniers vers : « De nous citains une parties Ait chevalchiét selle journée. A cialz don Pont font envahie : Ung en ont mort de col d'espée. Quant nostre gent s'est retornée, Le courciez ot en sa baillie, Qui l'ait gaingniet en la mellée » . Tout ce poème est partagé en strophes de sept vers. Il a été publié par M. E. de Bouteiller sous le titre de : « La guerre de Metz en 1324. » Paris, 18... Mehr ...

Dokumenttyp: manuscript
Erscheinungsdatum: 1400
Schlagwörter: Metz / Sièges / Sièges (1324)
Sprache: Französisch
Permalink: https://search.fid-benelux.de/Record/base-26738444
Datenquelle: BASE; Originalkatalog
Powered By: BASE
Link(s) : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9007351t

Numérisation effectuée à partir d'un document de substitution. ; Premiers vers : « Pour eschevir mirancolie, Qui m'ait estés souvent contraire, Une matière ai entaillie Dont je volra plusseurs vers faire. » Derniers vers : « De nous citains une parties Ait chevalchiét selle journée. A cialz don Pont font envahie : Ung en ont mort de col d'espée. Quant nostre gent s'est retornée, Le courciez ot en sa baillie, Qui l'ait gaingniet en la mellée » . Tout ce poème est partagé en strophes de sept vers. Il a été publié par M. E. de Bouteiller sous le titre de : « La guerre de Metz en 1324. » Paris, 1875, in-8°. ; On peut soupçonner, en effet, que la signature que l'on a arrachée au bas de la page 1, était celle de l'académicien Ballesdens, qui a légué ses mss. à Colbert.