Souveraineté et indépendance nationale : la Belgique et le transfert de souveraineté vers des organisations internationales
Contrairement à un mythe largement répandu, la Belgique n’a pas toujours été un ardent défenseur ni du transfert de souveraineté vers de organisations internationales, ni – et en particulier – de la construction d’une Europe supranationale. L’idée d’abandon de la souveraineté nationale s’est d’ailleurs opérée en deux temps. Vers la moitié du 19e siècle, la Belgique découvrit les avantages de se soumettre aux lois du libre-échange et donc de ne pas à tout prix préserver sa souveraineté en matière économique. Un siècle plus tard seulement, la même démarche fut entreprise en matière de souveraine... Mehr ...
| Verfasser: | |
|---|---|
| Dokumenttyp: | conference |
| Erscheinungsdatum: | 2018 |
| Verlag/Hrsg.: |
Académie des sciences d’outre-mer
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| Schlagwörter: | Social Sciences / Belgique / politique étrangère / diplomatie / Union européenne |
| Sprache: | Französisch |
| Permalink: | https://search.fid-benelux.de/Record/base-26558128 |
| Datenquelle: | BASE; Originalkatalog |
| Powered By: | BASE |
| Link(s) : | https://biblio.ugent.be/publication/8693188 |
Contrairement à un mythe largement répandu, la Belgique n’a pas toujours été un ardent défenseur ni du transfert de souveraineté vers de organisations internationales, ni – et en particulier – de la construction d’une Europe supranationale. L’idée d’abandon de la souveraineté nationale s’est d’ailleurs opérée en deux temps. Vers la moitié du 19e siècle, la Belgique découvrit les avantages de se soumettre aux lois du libre-échange et donc de ne pas à tout prix préserver sa souveraineté en matière économique. Un siècle plus tard seulement, la même démarche fut entreprise en matière de souveraineté politique.