La localisation des lignes françaises du XVIIe siècle entre Ypres et Comines (Belgique). Une contribution archéologique et géographique

Abstract: „Après la Paix de Nimègue, la France changea sa stratégie concernant sa frontière septentrionale et opta pour la construction d’une série de lignes de fortifications. Au contraire des villes fortifiées, ces lignes n’ont généralement pas été préservées dans le paysage et leur tracé est donc peu connu. Toutefois, de nombreuses cartes les mentionnent aux XVIIe et XVIIIe siècles. Grâce à l’utilisation du SIG, il a été possible d’utiliser une série de cartes concernant les lignes entre Ypres et Comines et de les confronter avec les cartes modernes (cadastre, carte topographique). Ceci a p... Mehr ...

Verfasser: Blanchaert, Hans
Bourgeois, Jean
Dokumenttyp: Artikel
Erscheinungsdatum: 2010
Veröffentlicht in: Revue du Nord, Volume: 388, S. 7–18
Schlagwörter: Kartografie / Militär / Festung / Befestigung / Ypern
DOI: https://doi.org/10.3917/rdn.388.0007
Permalink: https://search.fid-benelux.de/Record/GV6BKBPT
Datenquelle: Bibliografie der Benelux-Grenzgeschichte; Originalkatalog
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Link(s) : https://doi.org/10.3917/rdn.388.0007

Abstract: „Après la Paix de Nimègue, la France changea sa stratégie concernant sa frontière septentrionale et opta pour la construction d’une série de lignes de fortifications. Au contraire des villes fortifiées, ces lignes n’ont généralement pas été préservées dans le paysage et leur tracé est donc peu connu. Toutefois, de nombreuses cartes les mentionnent aux XVIIe et XVIIIe siècles. Grâce à l’utilisation du SIG, il a été possible d’utiliser une série de cartes concernant les lignes entre Ypres et Comines et de les confronter avec les cartes modernes (cadastre, carte topographique). Ceci a permis d’identifier une quinzaine de points d’ancrage pour le tracé de cette ligne, rendant son parcours plus identifiable. Un seul contrôle sur le terrain, à la tarière, a été effectué et confirme la présence de la fortification. L’exercice montre tout le potentiel des cartes anciennes, lorsqu’on les utilise en SIG et les confronte avec les cartes modernes.“